Valse des dirigeants, coupes dans les effectifs… Au siège, la reprise en main du géant de la restauration collective se fait dans la douleur.
« À vos postes, prêts, riez ! » En septembre, tous les managers d’Elior, même les moins jeunes, se sont vus adresser un « carnet de rentrée » aux airs enfantins.
L’idée ? Permettre aux cadres du géant de la restauration collective de découvrir le « nouveau visage » de leur entreprise, sous l’ère Derichebourg : au printemps dernier, la maison est passée entre les mains de ce groupe familial spécialiste du traitement des déchets. Au programme : « du jeu, du rire et de la bonne humeur », précise l’opuscule décoré comme un cahier d’écolier.