Après les annonces, toujours autant d'ambiguïté
 
Presque 3 semaines de confinement et la maladie ne faiblit pas. Loin des éléments de langages distillés pour le gouvernement, le quotidien des salariés semble s’être figé. 
 
Toujours confrontés à des décisions contradictoires qui leur échappent, les obligeant à prendre le risque de la maladie ou à ne pas pouvoir payer leur loyer.
 
Pourtant encore pudiques, les regards semblent se tourner vers l’horizon.
 
Peut-être parce que le discours évasif du pouvoir ne laisse rien espérer de bon ? 
Va-t-on pouvoir recommencer comme si cette crise n’avait pas pointé la responsabilité des choix économiques et politiques que nous subissons depuis tant d’années ? 
 
La conscience s’aiguise sur la question de l’importance des services publics, sur leur moyens, leur développement, sur des relocalisations de production industrielle et de services...
 
La CGT est attendue, de suite, aux cotés des salariés pour répondre à l’urgence, mais aussi pour aider à penser le jour d’après.
 
 
 
La CGT demande la suspension immédiate des dividendes
 
 
En pleine pandémie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a invité lundi 30 mars les entreprises qui recourent au chômage partiel à ne pas verser de dividendes à leurs actionnaires. Notre organisation demande la suspension immédiate du versement, par les entreprises, de dividendes, rachats d’actions et bonus aux PDG. 
 
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La santé des livreurs en danger
 
 
En dépit de la la crise sanitaire, un certain nombre d’entreprises aux activités non essentielles continuent à exposer leurs travailleurs à des risques sanitaires depuis le début de la crise du coronavirus. C’est le cas des livreurs des plateformes, qui continuent à pédaler pendant le confinement. Pour lutter contre cette situation, la CGT a appelé à la grève le vendredi 27 mars. Une prochaine mobilisation est prévue le 3 avril.
 
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Pour que le jour d’après soit en rupture avec le désordre néolibéral
 
 
En mettant le pilotage de nos sociétés dans les mains des forces économiques, le néolibéralisme a réduit à peau de chagrin la capacité de nos États à répondre à des crises comme celle du Covid. La crise du coronavirus qui touche toute la planète révèle les profondes carences des politiques néolibérales. Elle est une étincelle sur un baril de poudre qui était prêt à exploser. Emmanuel Macron, dans ses dernières allocutions, appelle à des « décisions de rupture » et à placer « des services […] en dehors des lois du marché ».
 
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COVID-19 : la santé avant tout !
 
 
La santé des citoyens et du monde du travail d’abord !
La crise sanitaire extrêmement grave que traverse le monde et, notamment, notre pays amène à prendre des mesures indiscutables pour protéger la santé des citoyens.
Analyse de la situation par l'économie
 
 
La santé des citoyens et du monde du travail d’abord !
La crise sanitaire extrêmement grave que traverse le monde et, notamment, notre pays amène à prendre des mesures indiscutables pour protéger la santé des citoyens.
Solidarité internationale entre organisations syndicales
 
 
La santé des citoyens et du monde du travail d’abord !
La crise sanitaire extrêmement grave que traverse le monde et, notamment, notre pays amène à prendre des mesures indiscutables pour protéger la santé des citoyens.
Depuis plusieurs mois, l'hôpital public nous alertait du danger !
 
 
Depuis plusieurs années, l'hôpital public s'est mobilisé afin de dénoncer la dégradation des conditions de travail et du manque de moyens.
Alors que le président de la République semble découvrir l'importance des services publics depuis le début de cette crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus, cela fait des mois que les personnels soignants se mobilisent pour appeler à l'aide.
Covid 19 : le service public en première ligne
 
 
Face à la pandémie de coronavirus que nous subissons, une évidence s'impose : l'importance d'avoir des services publics forts, qui permettent de maintenir la cohésion sociale et l'équilibre des territoires de notre pays.
 
 
Chaque année, ce sont 220 000 femmes qui sont victimes de violences conjugales, en France. 
Avec le confinement, les violences conjugales et intrafamiliales ont augmenté de plus de 30% : 32% de signalements supplémentaires ont été enregistrés par la gendarmerie sur une semaine et 36% pour la région parisienne. Et, tout porte à craindre que la levée du confinement ne signera pas l’amélioration de cette situation.
 
 
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Pas de dividendes en 2020 : le dire c'est bien, le faire c'est mieux
Communiqué de presse commun Attac France, les Amis de la Terre France, Collectif Éthique sur l’étiquette, Confédération paysanne, CGT, FSU, Solidaires, Oxfam France, Reclaim France, Sherpa, Greenpeace.
 
 
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La CGT revendique, plus que jamais, la régularisation des travailleurs sans papiers, l’égalité des droits et la protection de tous les salariés !
 
 
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Le relèvement du plafond d’emprunts de l’Acoss (Agence centrale des organismes de Sécurité sociale) à 70 milliards d’euros montre le rôle fondamental de la Sécurité sociale pour faire face à la crise du Covid-19.
 
 
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Le Conseil des ministres, réuni ce jour, vient de rendre publiques ses ordonnances, mettant en place des déréglementations majeures, en matière de droit du travail, en particulier sur le temps de travail, les congés, la prise des RTT ou encore le compte épargne temps.
 
 
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Confinement et télétravail
 
 
Vous avez des questions sur le télétravail et vos droits ? Nous y répondons ici !
Votre employeur doit vous placer en télétravail pendant toute la durée du confinement. Votre salaire sera intégralement maintenu.
Si l’employeur refuse le télétravail alors que celui-ci est possible, il se met en faute au regard des recommandations du gouvernement.
 
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Activité partielle liée au Coronavirus : nos réponses à vos questions
 
 
Afin de limiter les conséquences du virus COVID-19 sur l’activité, le gouvernement a notamment décidé d’élargir les conditions de recours au dispositif d’activité partielle. Les réponses de la CGT à vos questions, qui seront amenées à évoluer en fonction des mesures prises par le gouvernement.
 
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Coronavirus, droit de retrait et action syndicale et du CSE
 
 
L’exercice du droit de retrait peut permettre de protéger la santé du salarié exposé au risque de contracter le coronavirus. De plus, la simple évocation d’un exercice collectif du droit de retrait lors de discussions avec l’employeur peut permettre de créer un rapport de force propre à contraindre celui-ci à prendre les précautions nécessaires pour protéger les salariés et limiter la propagation du virus (mesures barrières, diminution de l’activité, annulation de certains déplacements, etc.). 
 
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COVID-19 : la santé avant tout !
 
 
La santé des citoyens et du monde du travail d’abord !
La crise sanitaire extrêmement grave que traverse le monde et, notamment, notre pays amène à prendre des mesures indiscutables pour protéger la santé des citoyens.

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